Le surréalisme, avec cette particularité d’éviter le descriptif au profit d’une écriture spontanée et non examinée en fonction du lecteur, prends des allures de labyrinthe. Considérant que Breton, surtout dans la quatuor (Les Vases communicants, Nadja, L’Amour fou et Arcane 17) s’appuie sur une expérience réelle ;  des témoignages ou des enquêtes biographiques sont nécessaires pour percer le sens premier, et les suivants, de sa poésie. Cet exercice est particulièrement laborieux, certainement à l’inverse du courant surréaliste, qui fait tout pour que le rational et la logique restent hors de porté.
Il en suit qu’un simple paragraphe recèle tant de pistes qu’il n’était pas possible de les exploiter toutes. Un nombre des choix ont été faits, jugeant sans trop de tort je l’espère, que la femme reste au centre de l’analyse.